Monstersongs

Monstersongs - extraits

MONSTERSONGS, c'est un univers,

ce sont des chansons et c'est aussi UN SPECTACLE.

Un spectacle dont les chansons donnent vie

à des choses qui étaient jusque là enfouies

entre les pages des romans de la littérature fantastique.

Un spectacle où, parfois, seul le silence répond à vos questions...

(illustration © Olivier Le Discot / Yil édition)

Afin de s'adapter à toutes les structures et tous les budgets

Monstersongs-Monsterland se décline en 3 formules
(Spectacle/ Exposition/ Projection commentée)

(Télécharger le document)

Les textes des chansons, écrits par Jean-Pierre JOBLIN convoquent avant tout le Maître :

Edgar Poe, à l'imaginaire aussi fécond que macabre qui marque pour toujours le genre fantastique.

Edgar_Poe (illustration © Jean-Pierre Joblin)

sur le principe de son dessin d'Edgar Poe,
Jean-Pierre Joblin a imaginé...

... un masque réalisé par Nicole Princet
(toutes ses réalisations ici)

La chanson "VIE RAVIE" s'inspire de la nouvelle "Le portrait ovale" d'Edgar Poe qui n'en a pas fini de nous interroger sur la valeur de l'oeuvre d'art.

Et MALTO, le compositeur, apporte à nos oreilles ce qu'il faut de modernité pour que notre peur ne sache plus si elle ne laisse prendre au piège lugubre d'un vieux château ou à celui d'un monte-charge industriel...

(illustration © Olivier Le Discot / Yil édition)

"ELLE EST ELLES", ce sont celles qui "passent leur vie à mourir... et à revenir".
La trilogie féminine des Nouvelles Histoires Extraordinaires : Morella, Ligeia et Bérénice qui hanteraient indéfiniment la maison Usher, avant sa chute.

(illustration © Olivier Le Discot / Yil édition)

Et comment invoquer Edgar Poe sans frissonner en croyant sentir le frôlement d'une aile de corbeau contre sa joue ?
"NEVERMORE" est là aussi bien sûr... Revisité, ré interprété sur une musique hallucinante qui pourrait avoir été créée en même temps que le texte original tant elle bat au rythme de son écriture.

Nevermore

(illustration © Olivier Le Discot / Yil édition)

En français, l'oeuvre de Poe étant indissociable des traductions de Baudelaire, la transition était toute prête

"Une gravure fantastique" nous tendait de son bras décharné son "sabre qui flamboie", tel un Sleepy Hollow timburtonien... mais nous lui avons préféré "LE REVENANT" à l'effroi plus élégant, qu'une nouvelle musique (de Malto toujours) rend à souhait aussi distant que glacial.

L'inspiration fantastique ne faisant pas défaut en littérature, c'est à Maupassant que Joblin a emprunté l'écriture ciselée et narquoise de "LA TOMBALE"

ainsi que celle raide et nerveuse et de "LA PERRUQUE" dont on arborerait volontiers une mèche brune, comme un bijou à sa boutonnière, pour faire défaillir les dames...